C’est bien connu, les français adorent les chiens. Cet amour est tellement fort qu’il pousse souvent leur propriétaire à vouloir partager avec le piéton lambda l’expérience fusionnelle « podo scatologique » d’un piétinement de merde authentiquement tricolore. Le touriste un peu trop flâneur, faisant l’impardonnable erreur de ne pas regarder ses pieds à chaque instant à la place des monuments (quel nigaud), pourra en faire les frais à plusieurs reprises. Il pourra ainsi rapporter un peu de notre amour des bêtes dans les interstices de ses semelles sans craindre aucun contrôle de sécurité ou limitation douanière…
Une visite à Rome vous surprendra de ce point de vue là… Les gens ont des chiens (beaucoup moins certes) mais personne ou presque ne s’aventurerait à sortir leur chien sans le petit sac plastique ad hoc… Les espaces verts étant légions (Rome est probablement la capitale la plus verte d’Europe), les espaces les plus propices ne sont pas les trottoirs comme à Paris… et ces derniers ont donc moins tendance à se couvrir de matière fécale après le coucher du soleil, discrétion oblige…
Le cliché du rital négligeant et indiscipliné en prend donc un sacré coup dans ce répertoire. Ce n’est pas le seul d’ailleurs. Ironie et digression à part, le vrai amour des romains envers les animaux domestiques s’adresse davantage à nos amis félins… Au Moyen-âge, les félins romains auraient participé activement à protéger Rome de la peste en dératisant la ville. Un sanctuaire leur est dédié en plein centre ville au milieu des ruines de Largo Argentina (photo - lieu où aurait été assassiné Jules). 250 d’entre eux y paressent sur les colonnes millénaires chauffées par le soleil et se donnent en spectacle au badaud… et continuent à participer à la dératisation de la ville. Ils sont cependant nourris par un refuge d'où une certaine tendance à la somnolence. La fameuse Dolce Vita félin(ienn)e.
Une visite à Rome vous surprendra de ce point de vue là… Les gens ont des chiens (beaucoup moins certes) mais personne ou presque ne s’aventurerait à sortir leur chien sans le petit sac plastique ad hoc… Les espaces verts étant légions (Rome est probablement la capitale la plus verte d’Europe), les espaces les plus propices ne sont pas les trottoirs comme à Paris… et ces derniers ont donc moins tendance à se couvrir de matière fécale après le coucher du soleil, discrétion oblige…
Le cliché du rital négligeant et indiscipliné en prend donc un sacré coup dans ce répertoire. Ce n’est pas le seul d’ailleurs. Ironie et digression à part, le vrai amour des romains envers les animaux domestiques s’adresse davantage à nos amis félins… Au Moyen-âge, les félins romains auraient participé activement à protéger Rome de la peste en dératisant la ville. Un sanctuaire leur est dédié en plein centre ville au milieu des ruines de Largo Argentina (photo - lieu où aurait été assassiné Jules). 250 d’entre eux y paressent sur les colonnes millénaires chauffées par le soleil et se donnent en spectacle au badaud… et continuent à participer à la dératisation de la ville. Ils sont cependant nourris par un refuge d'où une certaine tendance à la somnolence. La fameuse Dolce Vita félin(ienn)e.
Ci-joint le lien des photos accessibles sur le web -> photos